<h2>Sylvie Mayer raconte ses mystères sur toile&nbsp;</h2><p>Sylvie Mayer est une artiste plasticienne qui vit et travaille à Congénies, une commune française située dans le département du Gard.&nbsp;</p><h2>La thérapeute au cœur d’artiste&nbsp;</h2><p>Enfant, Sylvie Mayer se découvre une réelle passion pour le dessin. Ses parents l’inscrivent à des cours de dessin qu’elle suivra avec assiduité jusqu’à l’âge adulte. Après son bac, pas de doute, l’artiste veut intégrer l’École des Beaux-Arts. Mais son entourage l’en dissuade, les Beaux-Arts ne débouchant pas sur des «&nbsp;métiers de femmes&nbsp;». Sylvie Mayer finit par se résigner. Elle se dirige alors vers des études de thérapeute, mais n’en oublie pas ses ambitions d’artiste pour autant… Après le dessin, elle découvre la peinture, avec laquelle elle crée son propre langage. À l’aube de ses 40 ans, elle postule au concours d’entrée de l’École des Beaux-Arts, où elle est reçue et obtient trois ans plus tard un Diplôme National d’Arts Plastiques (DNAP). Par la suite, elle continue d’exercer sa profession de thérapeute, mais avec le désir de plus en plus ardent de faire parler les toiles et vivre de sa passion. À la retraite, Sylvie Mayer décide de se consacrer à faire vivre son langage pictural.&nbsp;</p><h2>La peinture comme outil de langage du cœur&nbsp;</h2><p>Sylvie Mayer considère chaque toile comme un visage d’elle-même. La peinture est une façon d’écrire une histoire, traduire son propre langage par les symboles, les matières et les couleurs. Les matériaux qu’elle utilise ont également une importance dans son langage pictural, ils varient selon ce qu’elle désire exprimer. Pour raconter le sentiment du temps qui passe, elle travaille par exemple la cendre sur la toile.&nbsp;</p><p>Comme les patients expriment leurs maux à leur thérapeute, l’artiste utilise la peinture pour exprimer ses propres blessures. La couleur s’est d’ailleurs imposée à elle pour adoucir les craquelures, qui remplissaient l’espace de ses toiles comme pour combler un vide douloureux. Sylvie Mayer s’inspire beaucoup de l’univers artistique de Pierre Soulages, pour lequel elle a une admiration toute particulière. Mais pour elle, partout où il y a vie, il y a inspiration.&nbsp;</p><p>Sylvie Mayer est une artiste mystérieuse... Ses techniques de peinture sont d’ailleurs des secrets bien gardés, tout comme les fêlures qui habitent le cœur au bout du pinceau. À travers ses toiles, elle les chuchote aux creux de nos oreilles sans que l’on puisse les intercepter. Pourtant, parfois sans trop savoir pourquoi, ce qui se raconte dans la toile nous semble étrangement familier…</p>

Sylvie Mayer

<p>Oeuvres abstraite de belle réalisation.&nbsp;</p>

Blanc Titane

<p>Tableau abstrait avec de la matière. Belle réalisation.</p>

Aztèques

Fabienne Ribeyrolles

<p>Oeuvre abstraite nous amenant dans l'imaginaire</p>

Comète - Fabienne Ribeyrolles

Ecueil - Fabienne Ribyrolles

<p>Ron English est un artiste américain né en 1959 à Chicago, adepte de l'art urbain et utilisateur du Culture jamming.</p><p>À l'aide d'affiches détournées et de tableaux à la technique élaborée, Ron English joue avec l'iconographie des multinationales, de la culture populaire ou de l'histoire de l'art comme Joe Camel, le McDonalds, Vincent van Gogh ou la souris Mickey Mouse en les mettant en scène de sorte qu'elle soit employée contre les valeurs qu'elle est censée représenter. En 2008, il crée et diffuse l'affiche Abraham Obama, qui mêle les visages de l'ancien président Abraham Lincoln et celui du candidat démocrate Barack Obama. Il a dessiné en 2014 la pochette de l'album World on Fire du guitariste Slash.</p><p>Ron English est le sujet du film documentaire Popaganda de Pedro Carvajal, qui brosse le portrait de cet artiste.<br>&nbsp;</p>

Ron English

<p>Scène de restaurant avec personnages</p>

Ron English

Milk Bar

Détails de l'oeuvre

Ron English

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